Quand j’ai téléphoné le 1° mai 2006 à Mr Yves, j’étais dans le désarroi le plus total. C’était le 1° mai, ce jour-là les gens sont chez eux et n’aspirent qu’à la tranquilité, vous en plus, vous déménagiez. Mais là tout naturellement, sa femme m’a répondu et gentiment m’a dit : je vous le passe. J’ai eu l’agréable surprise d’entendre un homme disponible et à l’écoute de mon désarroi, et là en entendant sa voix, je me suis sentie apaisée et rassurée. Je lui ai expliqué ce qui se passait, il a pris tout son temps pour m’écouter et m’a parlé et au fur et à mesure qu’il me parlait, j’ai eu la sensation de ne plus être seule face à mon chagrin. Je l’ai appelé, arrivé sur place, il a été exactement pareil, disponible et rassurant. Sans le connaître, j’avais l’impression qu’il me donnait la main. Le soir je l’ai appelé pour lui dire ce qu’il en était et il m’a suggéré de passer chez lui. Un instant avant le coup de fil, j’étais persuadée de ne pouvoir conduire et là dans les minutes qui ont suivies, j’ai pris ma voiture, mais chose inhabituelle pour moi, elle ne roulait pas, elle volait et je n’ai contrairement à l’habitude fait aucune bêtise au volant. Quand je suis arrivée chez M° Yves, c’est sa femme qui m’a ouvert toujours avec beaucoup de gentillesse. Je suis arrivée chez lui comme un zombi, quand je l’ai vu, j’ai eu l’impression qu’il me tendait les bras et qu’il me disait, « ne t’en fait pas, je suis là » ! Et c’est ce qui c’est passé. Je suis ressortie de chez M° yves et sa femme comme un oiseau qu’on venait de libérer de sa cage. Je vous dis un GRAND MERCI M° Yves pour votre dévouement ainsi qu’à votre femme pour sa gentillesse.
UN GRAND MERCI ENCORE POUR M’AVOIR ACCUEILLIE A BRAS OUVERTS.
Annie